Bouange
Guillaume-Marie-Frédéric Bouange
(1814-1884)

Mgr Bouange, évêque de Langres.Guillaume-Marie-Frédéric Bouange, fils aîné de Guillaume Bouange, boulanger, et de Marie Coste, Portrait de Mgr Guillaume-Marie-Frédéric Bouangenaquit le 19 janvier 1814, rue des Dames à Aurillac, département du Cantal.

Le 9 juin 1838, il est ordonné prêtre.

Mgr de Marguerye, évêque de Saint-Flour, le choisit pour secrétaire et le nomme successivement pro-secrétaire de l'évêché, secrétaire général du diocèse et chanoine honoraire de Saint-Flour en 1839, vicaire général, le 14 novembre 1845 et curé de Notre-Dame-des-Neiges d'Aurillac, en 1847 à 1849.

En 1851, il occupe les fonctions de vicaire de la Basse-Terre.

Il accompagne Mgr de Marguerye transféré à Autun en 1852 et devient, vicaire-général de ce diocèse.

Chevalier de la Légion d'honneur, par décret du 15 août 1863, en qualité de vicaire-général de Mgr de Marguerye, évêque d'Autun.

Il est nommé vicaire de Reims en 1867.

A la démission de Mgr Marguerye, en 1872, il retourne dans le diocèse de Saint-Flour en qualité de curé-archiprêtre de Saint-Géraud d'Aurillac, le 1er octobre 1872.

Le 15 juin 1877, un décret du président de la République lui confie l'évêché de Langres. Il est préconisé dans le consistoire du 21 septembre suivant.

Sacré le 18 novembre 1877 par Mgr de La Tour d'Auvergne, archevêque de Bourges, dans l'église abbatiale Saint-Géraud d'Aurillac ; il fait son entrée solennelle à Langres le 3 décembre 1877.

En 1880, 1881 et 1882, il réunit le synode à l'issue duquel seront élaborés et promulgués solennellement les statuts synodaux réglant le culte divin dans le diocèse de Langres.

Lorsque la Congrégation de l'Index décrète la condamnation de certains manuels de morale laïque comme contraires aux doctrines chrétiennes et en interdit la lecture ; le ministère des Cultes défend que ce décret soit lu dans les églises de France. Mgr Bouange ne tient aucun compte de cette interdiction et promulgue ce décret dans son diocèse. Il fait alors l'objet d'une déclaration comme d'abus. Quarante curés de son diocèse sont de ce fait privés de leur indemnité concordataire.

Il visite toutes les paroisses de son diocèse, attentif aux moindres détails. Les Autels, fonts baptismaux, reliques, chapelles, tombeaux, cimetières et l'administration fabricienne sont minutieusement inspectés.

Épuisé par le travail il décède le 5 mai 1884 en son évêché de Langres, au retour d'un tournée pastorale.  Les armoiries de Mgr Bouange

Les armes de Mgr Bouange. Parti : au 1 d'or à un cœur enflammé et ensanglanté de gueules sommé d'une croix de sable et chargé d'une couronne d'épine d'or, et une engrêlure de sinople en chef ; au 2 de sinople, à un cœur enflammé d'or, surmonté d'une marguerite d'argent et percé d'un glaive d'or, et une bordure engrêlée d'or. Une marguerite figure sur le bas du cartouche. L'écu est timbré d'une couronne comtale par exception à la couronne ducale.

«Mgr Bouange, ignorant, au moment de sa promotion à l'épiscopat, que les évêques de Langres avaient coutume de timbrer leurs armoiries de la couronne ducale, fit surmonter les siennes d'une couronne comtale, en souvenir de saint Géraud, comte d'Aurillac.» (DAGUIN).

En introduisant une marguerite dans son blason et une autre au pied du cartouche, Mgr Bouange a voulu consacrer à la fois le souvenir de la bienheureuse Marguerite-Marie de Paray-le-Monial et celui de Mgr de Marguerye, dont il avait été le grand-vicaire à Saint-Flour et à Autun. Les armes des Marguerye sont, en effet : d'Azur, à trois marguerites de pré tigées et feuillées, posées deux, une. (DAGUIN).

Son sceau épiscopal. Mgr Bouange fait usage de trois types de sceaux ovales. Ils présentent tous les armes du prélat dans un cartouche timbré d'une couronne comtale accostée d'une crosse et d'une mitre et sommée d'une croix tréflée ; le bas du cartouche présente une marguerite. Cimier : un chapeau épiscopal, de sinople, avec ses quatre rangs de houppes. Devise : AD CHRISTUM PER MARIAM.
Le premlier sceau a 10 mm et pour légende : évêché de Langres. Le second et le troisième sceau qui ont : l'un 38 mm, l'autre 44, offrent tous deux la légende : + GUILLELMUS+M+F+EPISC+LINGON+. Les actes de l'évêque de Langes portent généralement en tête et à la fin des vignettes plus ou moins grandes aux armes du prélat, surmontées des attributs épiscopaux et accompagnées de la devise.

Sa devise. Ad Christum per Mariam (Vers Jésus par Marie).


Les funérailles de Mgr Bouange
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                                                                                                                         Langres, 10 mai.

    Comme l'a dit l'Univers, c'est à la suite d'une tournée pastorale, et à la veille d'entreprendre un voyage à Rome, que Mgr l'évêque de Langres a été frappé du mal qui devait l'enlever à l'affection de son diocèse. Après la longue syncope qui avait mis en éveil les sollicitudes de son fidèle entourage, Mgr Bouange reprit connaissance et jusqu'à sa mort garda entière sa présence d'esprit, comme il le manifesta clairement par signes, la paralysie lui ôtant presque complètement l'usage de la voix.

    C'est le dimanche, à onze heures, qu'il reçut le saint Viatique des mains de M. Ravry, vicaire général. Comme toute sa vie, ses derniers moments furent un spectacle d'édification pour tous ceux qui en furent les tristes et heureux témoins. Aux pieuses exhortations de M. le vicaire général, il répondait, dit la Semaine religieuse, par les marques de la plus tendre dévotion, se recueillant ensuite pour l'action et avec une foi émouvante et qui tirait des larmes de toute l'assistance. A un moment, quand M. Ravry l'invitait à prononcer de cœur, s'il ne le pouvait de bouche, les noms saints de Jésus et de Marie, on le vit faire comme un suprême effort pour cette dernière invocation et, dans l'impuissance de rien articuler, il leva les yeux et les mains au ciel en témoignage de ses sentiments. Désormais il n'avait plus que peu de temps à vivre, et comme le lundi matin son dévoué secrétaire M. l'abbé Denis la saluait en disant Benedicamus Domino, il fit entendre avec un air de résignation tout céleste qu'il en tarderait pas, après son Nunc dimittis, à dire le Deo gratias dans un monde meilleur. Son neveu, M. Eli Roux, venu de Nevers en toute hâte, les prêtres et les religieuses qui se succédaient dans la chambre du vénéré malade, eurent le douloureux et consolant spectacle de ce suprême Fiat, où la souffrance à son dernier terme se transfigurait comme par l'avant-goût de la gloire d'en haut.

    C'est sous cet aspect que les pieux fidèles de Langres et du diocèse, personnages de tout rang, hommes et femmes de toutes les classes, officiers et soldats de toutes armes, qu'on y a comptés jusqu'au nombre de 800, pendant les quatre jours qui ont précédé les funérailles, ont pu voir leur évêque sur le lit de parade dressé dans l'un des salons transformé en chapelle ardente. Tel aussi nous l'avons contemplé, au milieu d'un concours qui était un pèlerinage, sur cette couche glorieuse, décorée tout à au tour d'arbustes et de fleurs, éclairée par des cierges, et encadrée de draperies noires sur lesquelles se détachaient, en lettres ornées, ces sentences de la sainte Écriture, éloquent résumé de la vie du prélat défunt : Bonum certamen certavi. — Justum deduxil Dominus. — Ecce sacerdos magnus.

    Ce matin, dès l'aube, la ville entière était envahie par les diocésains venus du dehors, pour rendre hommage à la dépouille mortelle de l'évêque tant aimé. La feuille radicale du crû, montrant ses sentiments jusqu'en face de la mort, avait osé dire que la mort de l'évêque serait pour son clergé une délivrance, parce que l'énergie apportée par Mgr Bouange à la lutte contre l'enseignement athée allait au delà de ce que désiraient ses prêtres. A cet outrage gratuit, les prêtres du diocèse ont répondu éloquemment par un concours qui dépasse tout ce qu'il était permis d'attendre. A les voir défiler par les rues en rangs pressés on se rendait facilement compte qu'ils étaient là tous, à l'exception de quelques uns que retenaient par force des devoirs pressants et qui avaient fait exprimer leurs regrets. N'est-ce pas comme s'ils disaient pendant sa vie, nous l'avons eu pour chef dans des combats nécessaires ; sur son cercueil nous venons jurer de rester fidèles au programme qu'il nous traçait, et que nous ne faillirons pas à maintenir de toutes nos forces.

    Voilà ce qui frappait surtout dans l'admirable, procession qui, à partir de neuf heures, s'ébranlait pour se dérouler à travers la ville. Mais, à côté, quel enseignement aussi et quel éloge du vénéré défunt dans ce concours des classes, catéchismes, pensionnats, congrégations, communautés, ouvroirs, frères des écoles chrétiennes, cercles catholiques, sociétés de secours mutuels, conférences de Saint-Vincent-de-Paul, etc. Il semblait qu'on fût transporté pour un moment dans ces heureux temps du moyen âge où, en des cérémonies de ce genre, la religion apparaissait comme le lien social de toutes les forces vives d'un pays. Pas de troupes ; on sait que la république n'en met plus sur pied pour faire aux évêques, vivants ou morts, un cortège d'honneur ; mais l'excellente tenue de tout le peuple n'en apparaît que plus frappante, maintenant un ordre admirable sur tout le parcours, entre deux haies spontanément formées et qui ne se rompent nulle part. Sur le passage du corps, porté sur une civière d'honneur par des prêtres en surplis, tout le monde se découvre avec respect et beaucoup s'agenouillent, comme pour recevoir une dernière fois la bénédiction muette du Pontife, lequel revêtu de ses habits de chœur s'avance ainsi le visage à découvert parmi les rangs de son peuple, pour lui donner jusque dans la mort un suprême enseignement.

    La présence de douze prélats devait rehausser encore l'éclat funèbre de ce cortège. Mais le métropolitain, S. Em. le cardinal Caverot, comme la plupart de ses collègues, n'a pu interrompre sa tournée de confirmation ; Mgr Thomas, archevêque élu de Rouen, et ancien collègue de Mgr Bouange comme vicaire général de Mgr de Marguerie, a fait savoir de Paris où il se trouve qu'il avait d'autres empêchements ; c'est Mgr Robin, protonotaire apostolique, vicaire général de Mgr l'évêque de Troyes ; c'est Mgr Lamouroux, protonotaire apostolique, vicaire général de Mgr l'évêque de Saint-Flour; c'est Mgr Marpot, évêque de Saint-Claude ; c'est Mgr Lelong, évêque de Nevers, qui ferment, en avant du corps, la procession solennelle.

    Derrière le corps, après le personnel des serviteurs de l'évêque défunt et la religieuse qui, dans sa maladie, lui a prêté ses secours, le deuil est conduit par M. Roux et M. Eli Roux, beau-frère et neveu de Mgr Bouange ; par M. Ravry et M. Perriot, vicaires généraux, et par M. l'abbé Denis, secrétaire. Viennent ensuite les magistrats en robe, et presque tout le corps des officiers de la garnison en uniforme, ayant à leur tête un colonel du génie, représentant le général, ainsi que le sous-préfet de Langres, représentant le préfet en tournée de révision ; plusieurs membres du barreau et à leur tête M. Villard, bâtonnier de l'ordre ; M. l'abbé Delmas, vicaire de la paroisse Saint-Augustin de Paris, filleul de Mgr Bouange, etc. La présence de ces officiers, venus spontanément au nombre d'une centaine, marque bien en quelle estime était tenue par l'armée le caractère de l'évêque si ferme à remplir tout son devoir. Dans les circonstances où nous sommes, ce témoignage a tout particulièrement son prix.
 
    Dans la cathédrale, une ornementation sobre et pleine de goût assombrit l'édifice, sans rompre la belle harmonie des lignes architecturales. Au fond de l'abside, une tenture noire déployée montre les armes du prélat défunt avec sa belle devise : Ad Christum per Mariam, encadrée dans deux inscriptions qui caractérisent l'ensemble et marquent le terme de son épisçopat : Fidem servavi, cursum consummavi. D'un bout à l'autre de l'église, sur de longues banderoles qui vont du faîte à la base des piliers, se détachent sur des cartouches les initiales du nom et du prénom de Mgr Bouange, avec d'autres inscriptions qui sont comme le résumé d'autant de chapitres de sa vie épisoopale : Bonum certamen certavi — Eloquio decorus — In fide et lenitate — Sanctum fecit illum — Qui seminat in benedictionibus, de benedictionibus et metet  — Dispersit, dédit pauperibus — Legis mulctator existens — Pastor bone in populo — Dilectus Deo et hominibus.

   La procession est à peine rentrée dans l'église que tout l'espace qui n'est pas occupé par le cortège est immédiatement envahi par une foule dont on ne saurait trop louer, après l'avoir admirée, l'attitude silencieuse et recueillie. Il est superflu, puisque nous sommes à Langres, de noter la remarquable exécution des chants. Comme pour tout ce qui tient à la gloire de Dieu et de là Sainte-Vierge, c'était une des joies du vénéré prélat défunt de patronner cette maîtrise incomparable instrument merveilleux de la prière et qui entre si avant dans les sollicitudes de tous ceux qui ont le zèle de la maison de Dieu.

    A onze heures, la messe célébrée par Mgr l'évêque de Nevers était terminée, et les cinq absoutes étaient faites, suivant l'ordre liturgique, par les prélats présents. Mais la foule ne s'écoule qu'avec peine. Pendant cinq heures encore elle se renouvellera sans cesse auprès du catafalque, sur lequel Mgr Bouange reste exposé jusqu'à la mise en bière. C'est à qui, par une pieuse fraude, emportera discrètement quelque fleur d'une des couronnes qui, au nombre de quarante ou cinquante, s'amoncellent de chaque côté, comme à la tête et aux pieds du corps. Que de regrets s'exhalent dans les prières ! Et quelle n'est pas l'angoisse de ceux qui, pour l'illustre diocèse de saint Mammers (sic.), demandent à Dieu un pasteur dont l'épiscopat continue les traditions et les œuvres non interrompues des évêques de choix qui furent Mgr Bouange, Mgr Guerrin, Mgr Parisis !

Auguste Roussel.

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Le Journal de Saint-Dizier a publié sur Mgr Bouange un article dont voici le passage principal :

    A notre époque logique il faut des caractères tranchés. On est catholique ou on ne l'est pas. Si l'on est catholique, on ne doit pas supporter que des livres condamnés par l’Église catholique soient mis entre les mains des enfants catholiques. On est républicain ou on ne l'est pas. Si l'on est républicain, on doit respecter toutes les libertés, et avant tout la liberté de conscience et la liberté des pères de famille.

    Voilà ce que dans sa droiture obstinée pensait et croyait l'évêque de Langres. Ce n'était pas l'homme des compromis. Les journaux qui l'ont outragé disaient qu'il n'était pas de notre temps et qu'il eût été un remarquable évêque du moyen âge. Comme si la vérité n'était pas la même au moyen âge qu'au dix-neuvième siècle, comme si elle changeait, ainsi que les hommes, au gré des circonstances.

    Ce jugement porté contre lui, par les girouettes de la presse, est le plus bel éloge du prélat défunt. Ferme dans son droit, appuyé sur la vérité catholique, fort des décisions de l'Église, si l'on venait de lui dire : «Vous ne penchez pas vers la république, ni vers les idées modernes, ni vers les concessions nécessaires. Pour qui penchez-vous donc ?» Il pouvait faire cette célèbre réponse : «Je ne penche pas !»

   Il mérite que ce mot héroïque soit gravé sur sa tombe.

L'Univers, lundi 12 mai 1884.



Acta & statuta synodiBibliographie succincte :Acta & statuta synodi

Sainte Atilie, martyre du diocèse de Saint-Flour, IImprimerie V. Viallefont, 1844, n-16, 67 p.

Sainte Clémentine, vierge-martyre romaine, protectrice de Sainte-Claire de Lavaur, diocèse d'Albi, 1854 ; Imprimerie de Gibrac, Toulouse, In-18, 161 p., s. d. ; Éditions Lacour, Nîmes, reproduction fac-similé, 2016, 212 p.

Un ange sur la terre. Mademoiselle Léonie Guillemaut. Notice nécrologique par Mgr G. Bouage, protonotaire apostolique, vicaire général d'Autun, extrait de la semaine catholique de Lyon et d'Autun, P. N. Josserand, libraire-éditeur, Lyon, avril 1872, 7 p.

Lettre pastorale de Mgr Bouage, donnée à Aurillac à l'occasion de son arrivée dans le diocèse de Langres, 1877.

Paroissien romain, publié par ordre de Monseigneur Guillaume-Marie-Frédéric Bouange, évêque de Langres, à l'usage de son diocèse, 13e édition, Th. Crapelet, Libraire de l'évêché, Langres, place Chambeau, 1878.

A nos très chères filles en Jésus-Christ, les religieuses de la Congrégation de la Providence, Imprimerie F. Dangien, Langres, 1878, 3 p.

Saint Mein, martyr spécialement vénéré dans l'église paroissiale de Jaleyrac, diocèse de Saint-Flour, Imprimerie Bonnet-Picut, Aurillac, 22 octobre 1878, In-16, 16 p.

Acta et statuta synodi dioecesanae Lingonensis Lingonis anno MDCCCLXXXII, celebratae‎, S. L'Huillier, Libraire, Langres 1883, 160 p.

Saint-Géraud d'Aurillac et son illustre abbaye, Bonnet-Picut, Aurillac, 1870, 1885, 2 vol. in-8 de XV-577 & 658 p.

Un mot sur les visions, révélations, prophéties, par Pierre-Xavier Poplard. Lettre de Mgr Bouange, P. Téqui, Paris, 1896, In-8, VI-177 p.

Histoire de l'abbaye d'Aurillac, précédée de la vie de saint Géraud, son fondateur (894-1789). Suivi de notes et pièces justificatives, A. Fontemoing, Paris, 1899, 2 vol. in-8.

La divine libératrice d'Aurillac, in JOUBERT (chanoine, Édouard), Notre-Dame-aux-Neiges (1802-1964), Imprimerie Poirier-Bottreau, 1964, 134 p.

Sources : 

DAGUIN (Arthur), Les évêques de Langres. Étude épigraphique, sigillographique et héraldique, Mémoires de la Société historique et archéologique de Langres, Tome III, Langres, Paris, 1877

FEUILLETTE (R. P.), Oraison funèbre de Mgr Bouange, évêque de Langres, prononcée le 24 juillet 1884, dans la cathédrale de Langres, Imprimerie-Librairie Rollet-Bideaud, Langres, In-8, 24 p..

L'Univers, journal quotidien, n° 6014, Paris, lundi 12 mai 1884, Les funérailles de Mgr Bouange, pp. une & 2.

Le Monde, journal quotidien, n° 329, 26e année, courrier bibliogaphique, Saint-Géraud d'Aurillac et son illustre abbaye, par Mgr G.-M.-F. Bouange, évêque de Langres, prélat de la maison de Sa Sainteté, assistant au trône pontifical, etc., Paris, mardi 1er décembre 1885, p. une.

D'ARLOT DE SAINT-SAUD (Jean Marie Hippolyte Aymard), Armorial des prélats français du XIXe siècle, H. Daragon, libraire-éditeur, Paris, 1906, p. 103.

L'épiscopat français depuis le Concordat jusqu'à la Séparation (1802-1905), ouvrage publié sous la direction de la Société bibliographique, Librairie des Saints-Pères, Paris, 1907, 720 p.

DELMAS (l'abbé Guillaume), Vie de Mgr Bouange (Guillaume-Marie-Frédéric), évêque de Langres (...) par son filleul, 2 vol., Librairie Suau, Paris ; Librairie Picut, Aurillac ; Imprimerie G. Foix, Auch ; Imprimerie H. Bouloy, Nemours, 1885, In-8, XXII-409 p. & portrait.

Archives nationales, base Leonore, cote LH//303/14.

JOUBERT (E., chanoine), Monseigneur Bouange et l'église Saint-Géraud, Revue de la Haute-Auvergne, tome 38, 65e année, Société des Lettres, sciences et arts «La Haute-Auvergne», Aurillac, octobre-décembre 1963, p. 444 à 451.




Buste de Mgr Bouage. Ateliers Périé frères, Le Puy-en-Velay, AD du Cantal, cote 44 NUM 22


 
                                                                     

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